il y a plusieurs façons de faire un bon LateNightTales. En général, le mieux est de dégainer des artistes ou des titres peu connus mais qui ont un feeling incroyable et qui donnent envie d’aller en savoir plus à leur sujet. Dans le cas du pianiste allemand Nils Frahm, la démarche a plutôt consisté à produire un mix très large dans les influences (musique contemporaine, jazz, électronica..) mais en apportant un touche vraiment personnelle, en retravaillant la texture, en ralentissant le tempo, en modifiant le grain, en donnant presque un coté remix à certains titres. C’est le 14ème volume de la série, c’est sans doute le plus original et pas loin d’être un des meilleurs. (Toutes mes critiques à retrouver sur Des Chips et du Rosé)