Tomber amoureux de ce nouvel album des Postmarks n'est qu'une question de temps. Le temps de se dévoiler, le temps de s'imprégner de ce romantisme, le temps de se projeter dans une ambiance de film des années 60. Surtout, comment peut-on ne pas succomber à la voix envoûtante de Tim Yehezkely, égérie d'une twee pop classique et charmeuse ? Impossible.
Kristoffe
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le 24 déc. 2011

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