Sans doute un des pires albums de "pop-électro" de l'année 2017.
L'espèce de beuglement mal mué du premier titre du disque résume tout l'album, j'ai ri.
Paroles navrantes et riff inexistant, les pseudos avenir du rock (dixit Rock'n'Folk) ont complétement quitté le navire Rock justement et ils sont allés s'échouer sur les rivages électro-pop.
On les sent perdu dans cet univers. En fait on les sent rejeté de cet univers.
Les gars retournés parler d'Ouna, du Gang, faites votre soupe garage rock de richou mais arretez ça tout de suite.
En tout cas fuyez Puzzle, éloigné le de vos oreilles et de vos cerveau, une trop longue exposition pourrait être nocive.
PS: le Come-back de Kyo est étonnamment meilleur, bien meilleur.
Créée
le 12 févr. 2018
Critique lue 464 fois
D'autres avis sur Puzzle
Sans doute un des pires albums de "pop-électro" de l'année 2017. L'espèce de beuglement mal mué du premier titre du disque résume tout l'album, j'ai ri. Paroles navrantes et riff inexistant, les...
Par
le 12 févr. 2018
BB Brunes, dans la variété française, c'est vraiment un concept ! Chansons pour midinettes, mais sans fond, plus assez bonnes pour les bandes FM et pas assez hypes pour une diffusion alternative...
le 6 nov. 2017
Ah les BBrunes ! Nos petits rockeurs français. Je n'ai jamais franchement écouté ni adoré leur musique, mais ce qui passait à la radio était sympathique. Donc, nouvel album dans les bacs, je décide...
Par
le 10 oct. 2017
Du même critique
J'ai vu mon pire film de l'année aujourd'hui et c'est Star Wars. Attention SPOILER: Le Film n'est pas nul parce que Han Solo meurt, ou parce qu'il n'est qu'une répétition de toute les scène de "Un...
Par
le 21 déc. 2015
3 j'aime
C'est nul, pas rythme, prod répétitive, textes (super) pauvres. Y a deux punchlines qui valent le coup dans tout l'opus, et puis merde apprend à articuler Aurélien, ou va voir un orthophoniste...
Par
le 12 févr. 2018
2 j'aime
Contrairement à la chanson de Sardou on a ici un bijou d’humour absurde, avec ce qu’il faut de référence et de moment potaches.Le trait habituel de Libon accompagne parfaitement le texte. J’en ris...
Par
le 23 oct. 2022
1 j'aime
