Décidément le talent du groupe belge Balthazar, – auteur de quelques albums remarquables dont le fameux Rats de 2012 avec lequel le peuplé indé les a vraiment découvert – se conjugue aussi très bien en mode solo. Après Warhaus, projet de Maarten Devoldere et Zimmerman, celui de Simon Casier, c’est au tour du guitariste Jinte Deprez de proposer un projet parallèle avec J. Bernardt. Les fans de Balthazar ne seront pas perdus car on retrouve ici la mélancolie pop que l’on aime tant chez Balthazar, avec ici en plus des sonorités électroniques assez marquées et une production qui sonne par moment très rap r’nb’. Une jolie réussite pour un album plus que soigné https://www.benzinemag.net/2017/08/19/chroniques-express-131/