Le pornogrind : une grande histoire d'amour.

J'avoue être fortement influencé par mes années de collèges où j’étais littéralement "le prince mage noire" "le plus méchant des méchant en matière de musique." Tandis que mes p'tits camarades se pignolaient sur Slipknot, Rammstein, SOAD et BVB (beurk) Moi c'était Cock and ball torture, Gronibard, Spermswamp, Lasts Days of Humanity et compagnie. Une originalité musicale qui me faisait me dire "suis-je donc le seul taré à écouter ce genre de truc ?" depuis que j'ai vu un mec en concert avec un t shirt Gronibards (celui avec l'infirmière joel qui se fait baiser par des pikachus) je n'en suis plus si sur, et c'est peut être satisfaisant de bavarder sur ce que la scène Grindcore a de pire à nous proposer : le P O R N G R I N D.

On associe souvent le Porngrind à des mots-clés comme le BDSM, la perversion, le grivois; cependant rarement au mot "festif". Oui, je considère le porngrind comme festif et c'est pour cela qu'il doit vivre! Pas de politique rien juste du fun! Et Sadochismo c'est ce délire la, à vrai dire le porngrind en général est dans ce délire la. Dans cette critique je voulais plus parler du Porngrind plutôt que de réellement l'Album car soyons honnête : c'est de la merde. Vraiment. MAIS personne n'essaye de faire croire le contraire ! Et c'est pas parce que c'est de la merde que c'est mauvais ! J'pense que si dans le Metal il y avait que des groupes "ultra-dark" et satanistes on se feraient bien chier (même si j'aime ces groupes la aussi.) C'est le genre de musique qui devrait être jouée dans les mariages à coté de Claude François et vive les gros nichons, bref dans un évènement festif.