Quel album ! Plus je l'écoute et plus je l'aime. Impossible d'y trouver un mauvais titre (bon, d'accord, Man in the Mirror m'ennuie un peu, mais c'est bien la seule). Très modeste, mais (donc ?) tellement sympathique. Même quand Nash nous sort une chanson idiote sur des émeutes survenues trois ans auparavant en nous disant d'aller chanter à Chicago, il le fait sur une mélodie si entraînante qu'il est tout bonnement impossible d'y résister.
Pour un peu, il me ferait croire qu'on peut vraiment changer le monde. En ces temps post-post-modernistes, c'est pas rien.