Les aventures répétitives des deux notes de piano du disque précédent reprennent à zéro, comme si elles n’avaient pas eu lieu, et sont suivies de grandes plages de balbutiements glougloutants dans le droit fil tordu des entreprises expérimentales sans garantie de bonne fin : ballets désaccordés de carillons pour porte d’entrée de vétérinaire, choeurs d’appeaux pour méduses à marée basse, etc. C’est très délicat, sans doute, puisqu’il le prétend.
Errements froufroutants dans les limbes du futur. Quelle barbe ! Les petits-enfants de l’organiste viennent s’asseoir et pianoter un instant sur l’harmonium.
Je suis perdu. Je ne comprends pas. On jurerait que Vidna Obmana est de la partie, et qu’elle est sponsorisée par Le choix funéraire. Croyez-moi, si j’avais le choix, il ne serait pas funéraire.