Dès le début du disque, on sent qu'on ne va pas rigoler. Des nappes dark avec une voix qui répète en boucle : "this is the night of the demon...". Le deuxième morceaux fait un peu plus de vingt minutes et reste dans la même ambiance faite de samples de voix lointaines et inquiétantes avec de nouveau une référence à ce cher Belzébuth. Le reste de l'album est dans le même ton lent, assez dépouillé et qui s'enfoncent dans les tréfonds de notre psyché. A noter que les samples sont issus du film, superbe également, de Jacques Tourneur "Night of the démon" (1957). Bienvenue en enfer.