Sophia !
Putain, je t'aime Billy Wilder, tes films ne me font pas hurler de rire, mais me mettent constamment la patate ! C'est bien simple, j'ai (encore une fois, 4ème film que je vois du réal) eu le sourire...
Par
le 27 mars 2013
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The Regal Bastard est la troisième et dernière partie du conte vampirique de NAD SYLVAN après Courting The Widow sorti en 2015 et The Bride Said No deux années plus tard. Une fois de plus, Sylvan a réuni un immense éventail de talents musicaux pour donner vie à son projet. En effet, presque tous ceux ayant travaillé sur l'opus précédent sont de retour. Anders Wollbeck a de nouveau co-écrit deux chansons et joue de nombreux instruments en plus de les coproduire. On retrouve aussi Nick D'Virgilio et Paul Mabury à la batterie, Tony Levin et Jonas Reingold à la basse, et tant d'autres musiciens. Son comparse de longue date, Monsieur Hackett, est aussi de la partie et apporte sa touche magique si singulière sur Honey I’m Home, dernier morceau de l'album (hors bonus track). Un instrumental de 3 petites minutes qui commence par un magnifique solo de clavier de style Moog avant que le patron n'intervienne pour installer sa patte langoureuse. Cette piste est clairement la plus radieuse de l'album qui baigne dans un univers beaucoup plus sombre. Dans un style très baroque, Nad Sylvan développe comme à son habitude une grande diversité de styles différents, allant du rétro-prog (Oahu), à du pop-prog (I Am The Sea) voire de l'électro-prog (Whoa (Always Been Without You) J'ai personnellement eu quelques petits problèmes avec le chant de Nad qui m'a semblé être par moment un peu trop forcé voir plutôt ennuyeux. En conclusion, je dois dire que le résultat ne m'a pas vraiment convaincu. J'avais clairement plus apprécié son opus précédent, qui proposait des harmonies beaucoup plus douces et enchanteresses (retournez donc écouter le morceau What Have You Done) qui ont malheureusement quelque peu TROP disparues sur celui-ci. Question de goût probablement, puisque l'album n'est en soit pas mauvais. Dommage pour moi, mais pas complètement raté pour tout le monde.
(Chronique parue dans le magazine ProgRésiste #98)
Créée
le 26 nov. 2019
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