Adieu l'enfance par Ben Ric
(...) Nourrie d’influences new wave 80’s (de Daho période « Week-end à Rome » à The Cure), tout comme l’était le fameux Lescop de 2012, la musique de La Féline associe des sonorités pop synthétiques froides arrangées avec autant de sobriété que d’efficacité (boites à rythmes sèches, grosse basse réverbérée et guitares qui claquent…) à des textes très beaux, portés par une voix emprunte de douceur et de mélancolie.
Le résultat final donne un ensemble aux qualités mélodiques évidentes qui réussit l’équilibre parfait entre titres radio imparables et morceaux « cachés » qui se découvriront tout doucement au fil des écoutes.
Et on espère bien que celle qui doit son pseudo au film éponyme de Jacques Tourneur réussira avec ce nouvel essai de haute volée à conquérir un plus large public encore, car elle a tous les atouts pour ça !