Je ne suis peut être pas bien objectif sur cet album, puisque c'est le premier que j'aie écouté qui soit un poil péchu. Mais entre la violence nihiliste de have you ever + staring at the sun clairement héritée du hip hop, le côté fun de pretty fly, la bombe totale qu'est kids aren't alright et les chansons franchement noires que sont walla walla, end of the line et pay the man, bah même près de vingt ans après, je continue de vénérer cet album comme la référence absolue du punk moderne.
Le sentiment de totale déliquescence qui se dégage de cet opus (et cette pochette, patin de mortadelle !) est juste parfait à mes oreilles. Encore une fois, fanboy talking here.