Etant un indécrottable nostalgique qui n’aura pas trouvé de véritable successeur aux hits que sont « Mourning Affliction » ou encore « Self-Proclaimed God », je ne prétendrai pas comme d’autres que Benighted signe ici son meilleur album. Sauf qu’Asylum Cave fait quand même bien mieux qu’Icon, qu’il dégage l’énergie et le potentiel meurtrier d’une centrale nucléaire japonaise ayant subi les derniers outrages sismiques, qu’il est varié, hyper dense mais très accessible, et qu’il livre une pleine brouette de munitions de 1er ordre qui devraient faire un maximum de dégât en live comme dans la boite crânienne des auditeurs de bon goût. Bref, 6e essai transformé: bravo Messieurs!