Ce sixième album démontre les limites d’un tel projet. Autant d’albums en si peu de temps : ça n’a pas de sens. Azul, Mis Dientes est un album bouche trou. Ça sent le fond de tiroir à plein nez. La moitié des morceaux sont mixés avec le cul quand ils ne sont pas tout simplement mauvais. Omar et Teri Gender Bender font mumuse sans réellement se se demander si quelqu’un est intéressé par ce qu’ils sont en train de faire. Peut-être que l’album prendrait plus d’ampleur s’il bénéficiait d’une meilleure production. Mais ce n’est pas le cas. Rien de bien exaltant à se mettre sous la dent. Suivant !
La cuvée 2017 de Rodriguez-Lopez est également dispo sur [www.madafaka.fr][1]