Il est dommage que Ludwig Göransson se soit contenté, pour Black Panther, de réinvestir des motifs tribaux et des sonorités traditionnelles africaines sans infléchir la composition traditionnelle de film d’action Marvel pour en détricoter les codes et ainsi les remusicaliser. Alors la composition fonctionne, mêle bizarrement le hip-hop par instant aux percussions et instruments traditionnels pour un résultat vivant mais trop incolore.

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le 15 janv. 2019

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