Alors qu’on y croyait plus vraiment, « Christ illusion » marque le retour du Slayer plus inspiré, capable de produire une musique intense, rapide, incisive autour de thèmes forts mettant mal à l’aise puisque puisant dans les plus noires profondeurs de l’être humain.
Il faut donc reconnaître le fait que le retour de Dave Lombardo a provoqué la suralimentation nécessaire pour permettre à la mécanique Slayerienne de retrouver un rendement plus en adéquation avec ses performances historiques.
« Christ illusion » n’apportera pas forcément de méga hits cultes mais développe une grande homogénéité et un haut niveau de qualité d’ensemble.
Et si finalement Slayer n’était jamais meilleur que lorsqu’il était sale, vicieux, dérangeant et violent ?
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