Des notes de piano qui se balancent, une voix qui transperce notre cœur, un son, une âme, et parfois une mélodie extraordinaire qui accompagne cela, et la magie opère, puissante. Comment arriver à reprendre le thème de « Jealous Guy », de Lennon, pour nous le faire oublier, avec « Une nuit sur mon épaule ». Magnifique.
Les mots glissent sur les notes de musique, abîmant parfois le sens des textes. On y retrouve une approche anglo-saxonne, privilégiant la sonorité au détriment du message, ce qui parfois nous laisse un peu vide.
Quand on voit un Picasso, un Van Gogh, on le reconnait, et quand on entend le piano de Véronique Sanson on sait que c’est elle.
NOTE : 13