Accrochez-vous, parce que c’est du brutal!
Notez qu’avec un nom comme Diabolical Masquerade et un titre comme Death’s Design, on peut s’y attendre un peu. mais peut-on réellement s’attendre à du black/death metal progressif?
Composé comme la bande originale d’un film avorté (et fictif), cet album en 61 mouvements est une sorte de voyage de l’extrême, aux confins du métal et du prog.
Vous qui entrez ici, abandonnez tous repères. Et prévenez vos proches: si vous n’en êtes pas revenu dans la semaine, qu’ils envoient une expéditon de secours…