Devil Doll, j'avais découvert grâce à The Girl Who Was... Death, et après avoir passé 1 mois à chasser les CDs, un mois supplémentaire à écouter les 4 premiers (enfin, ceux que l'on trouve), j'en étais venu à écouter celui là. Alors, effectivement, j'étais déjà on ne peut plus conquis, l'univers de Mr Doctor étant, en usant de raccourcis, la synthèse d'environ tout ce que j'aime en musique. Cependant, je n'avais pas encore écouté son chef d'oeuvre.
Car Dies Irae est son chef d'oeuvre.
On retrouve tout ce qui fait Devil Doll : la voix parfois doucereuse, parfois cruelle, souvent râpeuse de Mr Doctor, des motifs soignés, un texte inspiré, un univers sans pareil. Sauf que Mr Doctor, avec le temps, s'est perfectionné : plus symphonique, aux mélodies plus complexes, le tout semble plus maîtrisé, et en devient encore plus exubérant. Des frissons, beaucoup de frissons, à la première écoute comme aux suivantes.
"Do you want to play with me?
In the soundtrack of my survival"
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