Critique de Electro‐Shock Blues par pippoletsu
Quand la musique transcende la douleur, la noirceur, le chagrin, il reste 16 œuvres d'art, précieuses et fragiles pour tout raconter. Sans pathos, avec pudeur et mesure.
Par
le 20 déc. 2011
2 j'aime
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 20 déc. 2011
Critique lue 117 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Electro‐Shock Blues
Quand la musique transcende la douleur, la noirceur, le chagrin, il reste 16 œuvres d'art, précieuses et fragiles pour tout raconter. Sans pathos, avec pudeur et mesure.
Par
le 20 déc. 2011
2 j'aime
Du même critique
Quand on aime et qu'on comprend les mécaniques intimes des Teen Movies, on ne peut qu'être Illuminé par la puissance de ce film-somme qui ne fait pas que compiler ces mécaniques. Il les fait briller,...
Par
le 12 avr. 2011
8 j'aime
2
D'la merde, on pas peut faire aller la note jusqu'à 11...
Par
le 6 mai 2010
7 j'aime
1
Soyons objectif d'emblée: le jeu est laid, hideux et indigne d'une PS. Les bruitages sont les mêmes depuis les épisodes famicom. MAIS Les thèmes orchestraux sont absolument remarquables. C'est, à mon...
Par
le 2 déc. 2010
6 j'aime