Oui, je viens de passer 6 h de ma journée à écouter ce projet et oui je ne regrette rien, ça en valait vraiment la peine.
Everywhere at the End of Time est terrifiant, angoissant et tellement triste, Alzheimer étant une maladie qui me touche de très près, cet album m'a submergé dans un monde que je ne connais que trop bien.
Cet album a eu le même effet sur moi que Devilman Crybaby ou The End of Evangelion, c'est-à-dire que je me suis contenté d'admirer le plafond pendant de très longues minutes comme une coquille vide.