Sept longs morceaux atteignant presque une heure mis bout à bout. Un véritable florilège de genres dont la majorité pataugent dans l'extrême (Death mélo, Death prog, Tech Death, Black, Thrash, Rock...). Une grosse patine old school. Des compos dont émane une sensation de sophistication zarbi particulièrement raccord avec une pochette étrange créée dans une dimension parallèle… Si cette description fragmentaire met en branle votre chaîne auriculaire de production d’endorphine, n’hésitez pas plus longtemps : fondez sur Famine, Putrid and Fucking Endless comme un démarcheur à domicile sur un retraité sans défense.