James Newton Howard est un magicien, nous enchante une seconde fois avec Fantastic Beasts qu’il décline sans rien apporter de nouveau, qu'il assombrit aussi dans l’esprit du film. Les aspects jazzy ont disparu, demeurent l’épique et l’intimiste qui marchent main dans la main jusqu’à un final merveilleux où se déploient les chœurs, où s’élève l’orchestre vers une pureté incroyable. Une partition travaillée et noble qui refuse l'effet facile pour privilégier la construction d'une magie toute différente d'Harry Potter. C'est dire que Newton Howard contribue grandement à l'identité de cette nouvelle saga.

Créée

le 22 déc. 2018

Critique lue 170 fois

2 j'aime

Critique lue 170 fois

2

Du même critique

Sex Education
Fêtons_le_cinéma
3

L'Ecole Netflix

Il est une scène dans le sixième épisode où Maeve retrouve le pull de son ami Otis et le respire tendrement ; nous, spectateurs, savons qu’il s’agit du pull d’Otis prêté quelques minutes plus tôt ;...

le 19 janv. 2019

89 j'aime

17

Ça - Chapitre 2
Fêtons_le_cinéma
5

Résoudre la peur (ô malheur !)

Ça : Chapitre 2 se heurte à trois écueils qui l’empêchent d’atteindre la puissance traumatique espérée. Le premier dommage réside dans le refus de voir ses protagonistes principaux grandir, au point...

le 11 sept. 2019

78 j'aime

14