Le seul reproche qui pourrait être adressé à cet album est celui d’une certaine linéarité mais « Fire » regorge d’une telle énergie, d’un tel punch, d’une telle fraîcheur qu’il faudrait vraiment être un sacré pisse froid pour maintenir sérieusement cette critique.
Et oui n’en déplaise à certains, le rock est aussi cela, une certaine simplicité, une spontanéité alliées à un coté potache, sexuel, irrévérencieux, bruyant de garnements mal élevés.
En 2003, un jeune groupe américain donnait donc un grand coup de pied aux fesses à une scène rock quelque peu embourgeoisée.
« Fire » est pour moi l’album idéal pour mettre de l’ambiance chez soi, démarrer une journée en trombe ou faire la fête sur un son rock puissant et dansant.
Ce disque peut également servir de centrale électrique de secours en cas de défaillance du réseau EDF.
Pour ceux qui aimeraient en savoir plus, je recommande aussi le visionnages des vidéo clips absolument hilarants comme « Gay bar », auquel je pense chaque fois que je vois des hommes métrosexuels prendre soin de leurs corps dans les salles de gym.
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