Dutronc fils consent à un minimum d'efforts pour un album dont l'intérêt oscille entre la vague surprise (la mer de Trenet en anglais) et la reprise inutile voire ridicule (Get Lucky). Quant à Ne me quitte pas, renommée If you go away, disons qu'on a vu bien pire, et que si le grand Jacques devait se retourner dans sa tombe, ce serait fait depuis un bail.
Un album qui fera sans doute plaisir aux nostalgiques de plus de 65 ans, sorti juste à temps pour être sous le sapin. Même si la démarche de Thomas Dutronc est sincère, je ne peux m'empêcher de voir un opportunisme mercantile derrière tout cela.