Entre l'intro où résonnent cloches d'églises et chants crypto-grégoriens, et l'extraordinaire final où seules des gouttes de piano coulent sur quelques traînées de guitare clean, le tout enveloppé d'un chant angélique, s'intercalent trois morceaux très étranges, où l'arrière plan est saturé d'un mélange de black metal et de noise rock alors qu'au premier plan se déroulent des arpèges de clarinettes et saxophone assorties de quelques touches de violon. Un disque impossible à résumer, qui tient autant de Merzbow que de Debussy et qui pourtant reste parfaitement un album de metal expérimental.