Don't let the darkness eat you up.
Je suis tout bonnement ravie de cette découverte (faite via Spotify, qui l'a classé dans les "artistes similaires" à King of Convenience -lors de mon énième écoute d'un des albums de ces derniers-)
La guitare, les "tap tap" du pied, et une voix imparfaite (mais qu'on apprend vite à aimer) : voilà le p'tit Jose Gonzales qui nous berce. Tantôt il vous berce, tantôt il vous transforme en hippie prêt à courir cul-nu dans des champs de coquelicots fraîchement arrosés. Parfois, je me serai même cru de retour chez moi, à l'île de la Réunion. Notamment en entendant "Killing for love". J'aurai pu jurer entendre les mêmes rythmes d'un séga réunionnais. Assez étrange, mais qui réchauffe mon petit coeur de fille des îles.
En résumé : c'est que du bon, une bouffée d'air frais.