Trésors cachés d'Issy
S’ils n’ont jamais atteint la notoriété de Echo & the Bunnymen, ces Londoniens sont parvenus à établir un intéressant lien entre le lyrisme de U2 et la rage sombre de Joy Division ; les New...
le 21 mars 2020
4 j'aime
S’ils n’ont jamais atteint la notoriété de Echo & the Bunnymen, ces Londoniens sont parvenus à établir un intéressant lien entre le lyrisme de U2 et la rage sombre de Joy Division ; les New Yorkais d’Interpol leur doivent beaucoup. Ce live à fleur de peau met en avant l’intensité de leurs performances où la voix grave d’Adrian Borland tenait une place de premier choix.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste pop-rock 80s et 90s : trésors cachés
Créée
le 21 mars 2020
Critique lue 160 fois
4 j'aime
D'autres avis sur In the Hothouse (Live)
S’ils n’ont jamais atteint la notoriété de Echo & the Bunnymen, ces Londoniens sont parvenus à établir un intéressant lien entre le lyrisme de U2 et la rage sombre de Joy Division ; les New...
le 21 mars 2020
4 j'aime
Du même critique
Un documentaire tendre et émouvant, qui relate le quotidien d'une classe mixte dans un village d'Auvergne. La simplicité, la sincérité des "acteurs", est finalement un spectacle beaucoup réaliste et...
le 26 avr. 2020
4 j'aime
1
Un hit alternatif avec « Fade into you », et voilà Hope Sandoval et David Roback placés bien malgré eux sous les projecteurs : aussi réjouissant que surprenant pour une musique dont la langueur...
le 28 mars 2020
4 j'aime
S’ils n’ont jamais atteint la notoriété de Echo & the Bunnymen, ces Londoniens sont parvenus à établir un intéressant lien entre le lyrisme de U2 et la rage sombre de Joy Division ; les New...
le 21 mars 2020
4 j'aime