S’ils n’ont jamais atteint la notoriété de Echo & the Bunnymen, ces Londoniens sont parvenus à établir un intéressant lien entre le lyrisme de U2 et la rage sombre de Joy Division ; les New Yorkais d’Interpol leur doivent beaucoup. Ce live à fleur de peau met en avant l’intensité de leurs performances où la voix grave d’Adrian Borland tenait une place de premier choix.

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le 21 mars 2020

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