Critique de John Prine par Yasujirô Rilke
La saveur de cet album tient précisemment à son atemporalité, sa désuétude. En 71, John Prine reprend le rythme et la tessiture du Dylan de 63. Et c'est ce qu'on aime jusqu'en 2000s où The Tallest...
le 2 oct. 2023