Ce disque, 3ème opus de la discographie de Juliette Gréco, est une petite merveille d’écriture et de compositions. Et son interprète y fait figure de femme libérée, dans l’antichambre de Mai 68...
Construit comme une suite, on pense aux concept-albums. Une tendance fréquente à l’époque, mais devenue désuète à l’ère du streaming.
Ainsi l’on redécouvre ces petits plaisirs coupables avec la voix tantôt suave, tantôt autoritaire de cette chanteuse qui a marqué son siècle avec des arguments. Et pas seulement ceux des robes diaphanes comme celle de la couverture.