Après une première tentative en 1965 (album "Johnny chante Hallyday"), plutôt fraîchement accueillie par des critiques incapables de tourner la page du yéyé, Johnny persiste à composer ("La génération perdue", "La fille à qui je pense", "Cheveux longs et idées courtes"...). Si l'album est surtout connu pour ses reprises ("Black is black" de Los Bravos, "Got to get you into my life" des Beatles...), il forme toutefois un ensemble très homogène, à la réalisation soignée, et qui propulse Johnny vers une seconde partie de carrière bien plus riche et aboutie que tout ce qui avait précédé.
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le 19 juil. 2018
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D'autres avis sur La Génération perdue
Je trouve dommage d'avoir abandonné le contraste bonne ambiance / chansons plus romantique des précédents albums pour ici des chansons peut-être aux thèmes plus variés mais qui ne racontent pas...
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le 2 févr. 2013
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