S’il pouvait appliquer cette phrase à ses albums. Les trois derniers album sont identiques. Ce sont des suites de titre mais qui ne se suivent pas. Le seul fil conducteur des trois derniers albums font parti du chant lexical du banditisme : beuh, taules, je balance pas, billet, bandits.
Ça fait 3/4 albums qu’il raconte la même chose ça doit être difficile pour lui.
Sinon la pochette de l’album est vraiment sympas on voit le contrats entre l’immeuble en blanc et ses potes criminels dans leurs grosses bagnoles de bandits qui sont en noirs (des fois qu’on avait pas compris que c’était des vendeurs de DROGUES). Ça peut montrer qu’il a envie de rentrer chez lui mais malheureusement son passé ne lui permet pas. Ses enfants en rouge, montrant son amour qu’il a pour eux (il est père de jumeau et d’un fils) mais n’échappent pas au train de vie de leur père et sont donc aspirer dans le noir (un peu bizarre de ne pas les faire marcher vers l’immeuble blanc afin de montrer qu’il veut que ses enfants ne soient pas impactés par ses bêtises). Je ne crois pas qu’il parle d’eux dans son album, assez dommage puisqu’ils apparaissent sur sa pochette (encore un point montrant que ce sont juste des sons écrits vite fait sans fond).
Déçu de ne pas voir un changement dans sa carrière car Pure avaient un rythme, une histoire, les derniers salopards étaient largement écoutable.