Ici est, ici fut, ici sera,
la Renaissance du Phoenix au sein de l'oeuvre incommensurable de Monseigneur Zep, maintes fois reconnu notamment par un certain Céline ainsi que Léon Degrelle, comme fer de lance de son époque, via sa critique sociale perpétuant la tradition Zolaïste, Hugoïste puis Maoïste.
Et enchanteresse est la puissance avec laquelle ce duo, que dis-je, radicalité stellaire indiquant la vérité cosmique du monde nouveau, va,
tout au long de ces 4 minutes d’irrationnelle puissance au dévolue de la cause des anal """phabètes""" rappeller l'incroyable "Au pied de la lettre" de l'avant-gardiste Marianne Bressy.
Clin d’œil au cinéma Tchécoslovaque des années 20 (notamment La Dame au petit pied de Jan Stanislav Kolár et Přemysl Pražský.
Venons-en à la musicalité, comme toujours Renaud nous habitue a ses riffs dévastateurs rappelant toutefois la hargne et l'ingéniosité de projet comme Naked City ou Merzbow.
Puis est introduit ce chant, à gorge déployée:
Moi j'aime bien les animals
Les petits chats surtout
J'aime aussi bien les chevals
Les chouettes et les hiboux
J'adore aussi les dauphins
Que les béotiens inopérants dans leurs exaltations de l'élixir gourmand ici présent viennent incommoder leurs inepties dans l'hyper-espace comme-en-terre.
Cinématographiquement, je retiens principalement le travelling arrière final, juste,
Woaw
, à chaudement voir si vous apprécier le travail d' Herzog ou Tarkovskien.
Pour conclure, voici une bonne piqûre de rappel pour les malheureux continuant de disperser leur haine sans nom face à l'icône d'un grand mouvement populaire s'employant à rendre à la France sa Grandeur et son Honneur.