Looser ou winner?
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Depuis qu’il a mis en stand-by son groupe Poni Hoax avec lequel il nous avait offert trois albums impeccables dont l’immense A State Of War en 2013, Nicolas Ker n’a pas vraiment chômé. On l’a d’abord entendu l’an passé dans le groupe Paris avant de le voir réapparaitre au tour début de l’année 2016 en compagnie de sa nouvelle copine, Arielle Dombasle (qui l’eut cru ?), à la cool, dans le les-faubourgs Nicolas Ker – Les Faubourgs de l’ExilVivement Dimanche de Durker. Et le voilà donc en solo cette fois avec un premier album au nom si poétique : Les Faubourgs de l’Exil sur lequel plane l’ombre de Bowie.
Dans un registre moins sombre que celui de son groupe d’origine, le chanteur de Poni Hoax signe un premier album très ouvert, rempli de mélodies à la fois légères et mélancoliques dans des arrangements pop très changeants selon les morceaux.
Ici plus que jamais crooner que chanteur pop, new wave, Nicolas Ker déroule avec une voix assurée comme jamais une suite de titres d’une élégance folle dont une reprise très belle du Summertime d’Ella Fitzgerald. A retrouver sur hop blog
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le 10 avr. 2016
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