Une collection très dispensable de tubes, aussi longs que creux, calibrés pour les stades.
La seule profondeur de cet album est celle de l'ennui abyssal qu'il procure avec la seule envie de faire "next" sur sa playlist...
Ils avaient déjà commis un Music of the spheres dans le même ton ( à l'exception de la piste coloratura qui montraient qu'ils en avaient encore sous le pied), j'espérais un sursaut sur cet album, il n'en est rien.
Ils annoncent qu'ils s'arrêteront au 12e album. C'est là une vraie bonne idée, je dirais même que vous pouvez arrêter maintenant les gars, vous n'avez vraiment plus rien à dire.