On peut parler de veine orchestrale ?
Chouette alors.
Perfect Dream, qui ouvre l’album, s’enfle progressivement d’une note unique, dotée d’une enveloppe harmonique kolossale, qui emplit tout l’espace de l’auditorium. C’est très simple, très pur, très beau. On se laisse scanner par l’onde sans choc, qui nous submerge du fond de l’infini. Inspiré d’idées empruntées sur Structures From Silence, Quiet Music et Dreamtime Return puis réimplantées en auto-greffes, ce disque est méditatif, apaisé et serein, ample et non pompier.