J'avais acheté Nexus Polaris à une époque où je devais étancher ma soif de black métal symphonique... Quelle ne fut pas ma surprise ?
Et oui, ma surprise de me retrouver avec bien plus que ça. The Kovenant a réussi le tour de force de nous sortir du black sympho, oui, mais avec un gros "+" que je qualifierais d'onirique. La musique, maîtrisée de bout en bout par des ténors du genre, se voit portée vers le haut par des nappes de chant féminin utilisés à la perfection, par des claviers irréels qui se greffent de manière étrange et pourtant si évidente à tout le reste. Seule la voix de Nagash pêche parfois, un peu inégale mais ce n'est qu'un détail.
Un must-have (oh yeah)
Mention spéciale à la chanson Bringer of the Sixth Sun... Juste magique.