Critique de Nº8 : Georges Brassens, à la basse : Pierre Nicolas par Yasujirô Rilke
On m'a dit, aujourd'hui, à raison : "Brassens : la base !". Au delà de la tendresse de ses accords, et ce 8e opus ne déroge pas à la règle, l'artiste atteint une poésie où l'éclat des images se...
le 11 nov. 2015