C'est pauvre, mon dieu que c'est pauvre!
Si le premier album nous donnait des textes novateurs, empreints souvent de mythologie, ici, rien...
En réalité le chanteur se caricature lui même, là où il arrivait à rapper (celtique, francais, souvent cliché, mais rap quand même) il ne fait qu’emprunter la voix d'alors, en essayant de faire coller des textes pauvres avec des instruments collés. On est bien lion de l'imagination faisant de chaque piste une entité: ici, comme les titres des chansons, les mélodies se ressemblent toutes, et seul le biniou vient mettre un peu de celte dans la soupe.
On a perdu la contrebasse, qui donnait tant de chaleur, les passages accoustiques, etc. Je comprends mieux qu'il n'ai pas marché