Difficile à encaisser
Je suis tombé sous le charme de l'album Periphery IV alors ça partait bien pour celui-ci. Si on retrouve évidemment ce qui faisait la réussite de l'album précédent, à savoir un chant clair...
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le 29 mai 2023
Dans la galaxie musicale actuelle, l'album récent de Periphery est un investissement sonore d'une valeur notable. L'auditeur, tel un trader avisé, est confronté à une diversification stylistique aussi surprenante que la fluctuation des cours boursiers. Les variations rythmiques et mélodiques au sein même d'une piste défient toute attente, rendant l'expérience comparable à une négociation délicate sur le marché des valeurs.
L'alternance entre des harmonies vocales presque teintées de hard-rock et des cris déchaînés évoque une volatilité contrôlée, démontrant une maîtrise musicale qui peut s'avérer aussi rafraîchissante qu'une injection de liquidités dans un marché stagnant. Le recours à des techniques scream et growl, bien que risqué pour certains investisseurs auditifs, contribue à l'équilibre du portefeuille sonore, diversifiant le rendement artistique.
Le niveau instrumental affiche une performance robuste, stimulant l'appétit des fans, tout en ravivant l'intérêt pour le Djent, une valeur presque obsolète. En somme, cet opus surpasse largement les prévisions, chaque piste étant identifiable, offrant ainsi une singularité qui séduit et satisfait grandement. Un actif incontournable pour l'année en cours, une opportunité qu'il serait peu avisé de négliger.
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Créée
le 26 nov. 2023
Critique lue 24 fois
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