Putain c'est quoi cette merde.
Qu'est ce que c'est que cette mise à jour proprement horrible? C'est ILLISIBLE, on se croirait dans un asile de fous, perdus dans tout ce blanc.
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le 3 mai 2022
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Chaque soir depuis que j'ai quitté les rivages de l'archipel du Feu Eteint, je me remémore le temps heureux ou j'arpentais à l'aventure les mers sur le Défi, avec mon équipage, aidé de mes compagnons.
Tout avait commencé, me semblait-il alors, par le fait du hasard, mais il se trouve que tout avait été prévu depuis longtemps.
Je me souviens du naufrage et des marcassins sur la plage, nombreux sont ceux qui sont tombé ce jour la, maudit soit des pirates! Ce fut un mal pour un bien car c'est ici que je rencontrai l'ardente demoiselle à la lanterne qui me suivit jusqu'aux confins du monde.
Je me rappelle les déambulations nocturnes dans la vieille Cité de Nekateka, parmi les pauvres et les délaissés, entre les cris des mouettes et des marchands à la criée...les splendeurs de son palais alors que nous nous agenouillâmes devant la grande Onekaza.
Je regarde en arrière et j'aperçois les voiles du Fonferrus, je ressens de nouveau le brouillard sur mon visage, j'entend résonner les cris des damnés, la fureur des combats et la fierté ressenti devant tant de bravoure. Je peux voir le pont en flammes, suspendu hors du temps, les douze qui savent qu'ils vont mourir et qui pourtant y vont. Les verts piliers d'Adra me chuchotent encore leur douce musique.
La montagne éclate! La lave jaillit à flots bouillants! C'est un véritable cataclysme. Le géant nous saisit dans sa main pendant que le monde explose autour de nous. Délicatement, il nous pose sur une plage immaculée. C'est Eothas.
Je rêve et je me rappelle. L'observatoire de Bekarna et sa bibliothèque. Les poèmes de ma vieille Aedyr que me chante, la tête entre ses cuisses, celle pour qui je bravais l'iniquité. Comment je triomphais du cruel Beneath, fit ma place parmi les Principis, m'acoquinais avec l'impétueuse Aeldys que je trahis n'ayant nul confiance en ses vilénies et comment nous nous affrontâmes au cœur de la tempête.
Et bien sur, Ukaizo la perdue...
Ô Eora, tes portes me sont fermées à présent.
Mais nul jour ne passe sans que tu n'hante mes pensées.
Chaque soir je me souviens.
Créée
le 13 oct. 2020
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