9
Labour
Iceage a fait quelque chose d’assez imprévisible. New Brigade et You’re Nothing développaient une puissance brute, ici se mêle à cette puissance des cassures (piano, cuivres etc…) donnant des aspects...
Par
le 14 oct. 2014
7 j'aime
Plus inspiré que jamais, le quatuor Danois signe avec son troisième album une ode à l’amour à sa manière, passionnel, brut et sans équivoque. Iceage fait partie de ces groupes plutôt rares à ne pas mesurer le risque afin de ne s’imposer aucune limite, une remise en question de tous les instants qui lui évite ainsi de faire du surplace. Le changement de cap est étonnant avec l’arrivée des cuivres, d’instruments à corde, et même d’un piano. Le résultat est toujours très énervé et n’est pas sans rappeler Nick Cave et ses Bad Seeds, on se surprend même à entendre des intonations à la Robert Smith. La formation balaie les genres, du titre le plus punk Let It Vanish à la ritournelle Against The Moon évoquant la recherche d’un amour qui n’arrivera jamais. Un disque intéressant en tous points de vue, qui après vous avoir convaincu par sa musicalité vous convaincra encore un peu plus par la qualité de son songwriting.
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Créée
le 14 janv. 2015
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4
Non.
Les 4 points sont pour la musique, qui mérite honnêtement une meilleure voix. Au début, je pensais que c'était fait exprès, pour une chanson. Et puis non. Cette qualité de voix, je l'entends tous les...
le 29 oct. 2014
2 j'aime
1
9
Oui.
Plus inspiré que jamais, le quatuor Danois signe avec son troisième album une ode à l’amour à sa manière, passionnel, brut et sans équivoque. Iceage fait partie de ces groupes plutôt rares à ne pas...
le 14 janv. 2015
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