Teintes du monde
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Le trompettiste libanais mélange les genres et nourrit son jazz d’electro, de rock de soul, de funk, de musique orientale ou slave dans une farandole de titres aussi rythmés que variés parmi lesquels on retrouve une reprise de Beyoncé.
Du jazz ouvert donc, tirant même par moment sur le rock, un jazz assez mainstream certes, pour un album puissant, enivrant et très agréable et qui rappellera à certains moments le style d’Eric Truffaz.
En parallèle, Ibrahim Maalouf sort un second album, en hommage à la diva Oum Kalthoum, disparue il y a 40 ans, sous forme d'une relecture du titre Alf Leila Wa Leila, également très beau. Les deux albums se voulant être un hommage aux femmes.
Rappelons également que l’omniprésent Ibrahim Maalouf a composé l’an passé la bande originale du film Yves Saint-Laurent de Jalil Lespert et a collaboré tout récemment sur le dernier album de Natacha Atlas, qui lui aussi vaut le détour... en attendant sans doute un nouveau projet dans les mois à venir. (Toutes mes critiques à retrouver sur hop blog)
Créée
le 1 nov. 2015
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