L'actualité sur replicr, 2019

Hormis quelques rares morceaux sympas et plus mouvementés, c'est globalement assez plat et pas très mémorable. Heureusement que c'est court, d'ailleurs, sinon on se ferait un peu chier, je pense.

Plutôt d'accord avec les avis que j'ai vus jusqu'à présent : la déconstruction des clichés post-rock est intéressante mais au final l'album y perd beaucoup en impact, même si bon moi je suis toujours heureux de retrouver 65daysofstatic

Musique pour robots. 65daysofstatic poursuit sa déconstruction de sa musique, laisse des algorithmes faire joujou, cherchent des sonorités plutôt que des mélodies, sans parvenir à construire quelque chose de vraiment intéressant. Comme des versions au rabais du Konoyo de Tim Hecker, ou de certains trucs de Ben Frost, c'est loin du Post Rock qu'ils faisaient avant et tant mieux, mais ça erre beaucoup trop dans l'infini sans aller nulle part, ça sonne comme des angoisses irréconciliées, de l'ambia...