Chef d’œuvre
Je ne regrette aucun de mes 6 euros à contribution de ce film
Par
le 20 juil. 2022
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C'est à partir du dixième titre de l'album (Agora Hills) que la production utilise plus de deux notes comme base. C'est dans ce même titre que Doja s'ouvre réellement, après l'idée "us against the world" frôlée dans Wet Vagina. Ce choix scinde finement l'album qui jusque là puisait dans le même système de provoc' utilisé depuis le début de promotion (attitude je-m'en-foutiste, peur de rien, retournée contre ses fans, satanisme etc).
Il faudra donc attendre la moitié de l'album pour combler ce sentiment de creux grâce à une dynamique plus mélodique où elle se centrera avec reconnaissance sur l'essentiel de sa vie.
D'une artiste mondialement connue ayant vendu le concept de son nouvel album comme jamais-vu, éloigné des sons pop de "bas-étage" qu'elle a pu réaliser, les attentes étaient fortes. Je m'attendais à une révolution, mais c'est le déjà-vu qui a remporté la bataille.
Néanmoins, le projet reste une belle écoute.
Créée
le 26 sept. 2023
Critique lue 157 fois
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