Riffs simples mais efficace ! La voix du chanteur (Alexx Wesselsky) toujours impeccable et empreinte d'un charisme qui transpire à travers les chansons et sublime l'ensemble parfois un peu téléphoné.
Un côté kitsch indéniable ressort de la musique d'Eisbrecher qui arrive moins bien que le géant Rammstein à imposer ses textes en langue allemande. Mais à force d'écoute je pense sincèrement que c'est assumé.
La recette bien connue est la suivante : riff accrocheur / couplet sans guitare avec basse et quelques touches électroniques / refrain qui envoie la purée
Mais bon, on change pas une formule qui marche !
Le meilleur exemple étant l'énorme Himmel, Arsch und Zwirn avec ce riff à faire péter la nuque. Suivi de près par le morceau Volle Kraft Voraus qui ouvre l'album taillé pour le live.
Rot wie die Liebe casse un peu la routine en calmant le jeu avec une ballade indus (oui oui, une ballade indus) bien exécutée. Un autre aperçu de l'incroyable palette de la voix caverneuse du chanteur.
Dans l'ensemble un album sans trop de surprises mais très homogène ! Pas de chansons en dessous du niveau.
Si il ne fallait en retenir que 3 : Himmel, Arsch und Zwirn, Rot Wie Die Liebe, Zwischen Uns