Avec le S, Sigh attaque une nouvelle série de 4 albums. Pour un début, shiki est vraiment bien. On retrouve tout ce qui fait l'originalité bien barré de Sigh: une voix étonnante a la Venom, des ruptures d'ambiance, du jazz, des ambiances décalées, du bon trash mais qui reste mélodique en fond sonore. Sur cet album, j'ai surtout accroché sur la batterie, à fond, et les bons solos de guitare. Et puis les textes sont en japonais, comme ça je suis à égalité avec ceux qui comprennent l'anglais: on ne comprend rien. Mais, comme tous les albums de Sigh, plusieurs écoutes sont nécessaires pour rentrer dans leur univers si décalé, proche du théâtre avec toujours une belle mise en scène.