Album pris en sandwitch entre Powerslave et Seventh Son of a Seventh Son, Somewhere in Time propose des compositions complexes et accrocheuses avec un sacré festival de riffs et de soli de qualité. Du morceau d'ouverture à l'incroyable Alexander the Great, l'album propose une palette sonore variée avec beaucoup de dynamique dans les morceaux. Difficile à croire qu'on puisse se renouveler autant avec quatre power chords et des harmonies à la tierce, et pourtant ! Du riff de Wasted Years en passant par le refrain accrocheur de Deja-Vu, Iron Maiden montre que la vierge de fer en a encore sous le capot.
Et puis Alexander the Great, quoi, bordel !