J'ai aimé :
• Wild World bien entendu. Le morceau le plus connu du Cat, véritable mise en garde face à la cruauté du monde mais également l’histoire d'une séparation que le mec a un peu du mal à encaisser quand même.
• Father & Son, hymne à la relation père-fils. Écoute ton père, petit con !
• Une certaine cohérence se dégage de l'oeuvre. Chaque morceau participant à l'équilibre d'un tout. Les mélodies sont tantôt douces tantôt plus vives mais toutes sont liées d'une façon ou d'une autre. Chaque morceau est une réponse au précédent. Comme un dialogue entre un père et son fils. Je vais loin là. Tire sur mon oinj gros ! *
• De la liberté, de l'émancipation, des valeurs écologiques, de l'amour, du chagrin, de la candeur ... Cat Stevens en un album. SI vous devez découvrir cet artistes, c'est là que ça se passe et pas ailleurs.
• Mine de rien assez sombre et pessimiste dans l'ensemble. Les ballades cachent une réelle réflexion sur l'évolution du monde et la place de la spiritualité dans nos vies. Un thème assez intemporelle qui permet à Tea For The Tillerman d'avoir été, d'être et de rester un classique.
Je n'ai pas aimé :
• * Malheureusement, Cat Stevens c'est comme Bob Dylan. Tu écoutes un morceau et tu peux dire que tu as écouté toute sa discographie. Ça manque un poil de rythme et c'est finalement assez redondant. Comme un chat qui ronronne. Sauf que Cat Stevens ne crache pas de poils. Enfin ... Je crois ...
• La dernier chanson de l'album et qui lui donne son nom. Pas trop capté le délire pour le coup mais ça doit avoir un message caché. Profondément. Très profondément. J'aime pas trop le thé de toutes façons donc bon ...
Verdict : Bon.