The G Code, c’est Devourment et Body Count qui se galochent avec un (imperceptible) sourire en coin. C’est du groove et du gras en dose anti-homéopathique, du BrüBrüBrü de brontosaure mélangé à du gros flow Hip-Hop/Hardcore, et de la mosh part pour gorille troisième dan… C’est le genre de plaisir honteux qu’on n’avouera jamais à son cousin accro à Dream Theater, ni même à son pote fan de Gorod, mais néanmoins un disque qu’il fait du bien par où il passe. Parce que le bonheur et les neurones, ça ne va pas forcément toujours de pair ! (« Heureux les simples d’esprit, car le royaume du mosh leur appartient ! », Lapin 5:3-11)
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