The Wanderings of The Avener fait partie de ces albums que vous mettez en écoute et que vous adoptez dès la première minute. Il ouvre sur Panama, un morceau instrumental qui tourne en boucle c'est vrai mais d'une redondance agréable et confortable. Puis on enchaine sur Fade out Lines dont je n'ai pas encore réussi à me lasser. Puis suivent un grand nombre de featurings et de Remix (Sixto Rogriguez, John Lee Hooker etc) assez élégants et même une reprise de Lonely Boy des Black Keys pas mal du tout. Le titre La Tourre nous rappelle que Tristan Casara, avant d'être le DJ de renom qu'il est devenu, a fait ses classes de piano classique au conservatoire de Nice. Les titres s'enchaînent jusqu'au 15eme sur le 1er volume sans que ni la lassitude, ni la nostalgie ne nous assaillent. Alors je me doute que les puristes diront que c'est un album qui n'est pas assez audacieux, que c'est de l'jjeasy listening, mais pourquoi se faire du mal quand on peut se faire du bien ? J'aime beaucoup...
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